jeudi 25 septembre 2008

Un con, deux cons, trois cons...

Chronique de l'intelligence humaine au travers d'exemples concrets vécus: Episode 3

Bon aujourd'hui malgré que ma santé aie décidé de me pourrir l'existence en trouvant un quelconque moyen de foirer quelque part, j'aimerais gueuler. Comment ça "Encore"? Mais je vous emmerde, c'est mon blog, et j'écris ce que je veux dedans.

Bon bref, je vais gueuler contre des cons. Mais pas n'importe lesquels. Une élite qui se concentre dans mon lycée. Et oui ils sont partout. Depuis quelque temps je sais pas ce qu'ils ont, mais ils sont excités. Les chaleurs peut être. Allez savoir. Et pis comme il faut bien trouver une victime, et ben ils choisissent Deimos, cette bonne pomme. Tu me diras tous les ans c'est pareil, j'ai l'habitude. Mais bon j'écris pas pour me plaindre. Je vais juste vous montrer à travers cet exemple concret à quel point l'intelligence humaine vole haut.

Le con en cours d'Allemand: L'Allemand, c'est bien. Dépité d'avoir fait le choix con en Quatrième d'avoir pris l'Espagnol en langue deux, je me suis rattrappé l'année dernière en prennant Allemand en langue trois. En ce moment, c'est la deuxième année d'étude, donc cours en commun avec les collégiens de troisième. J'espèrais d'eux un degré de maturité suffisant pour qu'on bosse peinard. Erreur. Je vais m'interresser à un con en particulier. Il trouve toujours un moyen de m'approcher, et de me casser littéralement les couilles. J'explique de son point de vue:

"Le Deimos, il fait du pen spinning. C'est particulier tiens, alors puisque je suis un glandu pas capable de réussir quoi que ce soit, jvais aller l'emmerder avec sa pratique du pen spinning pour pretexte. Pour réussir ma mission, je vais me mettre près de lui pendant le cours. T'façons il est bonne pomme et pis il peut pas m'envoyer chier y'a pas de places ailleurs. Je me mets en place. Je fais exprès de ne pas avoir mon bouquin, comme ça et ben il est obligé de partager avec moi. Ah merde on a réussi à m'en trouver un. Bon ben tant pis je ne pretexterais pas le livre pour l'emmerder deux fois plus. Il reste le pen spinning. Je vais concentrer toute mon énergie de con pour l'emmerder. Deimos, je sais qu'il a plein de mods. Alors jvais tenter discrètement, furtivement, d'y en piquer un dans sa trousse. Merde il m'a gaulé. Bon ben je vais le harceler pour qu'il en passe un. Mais putain il fait chier à pas répondre! Beuh c'est pas drôle ça! Je vais tenter autre chose. Il spin forcément avec un mod, en plus il est pile près de moi. Solution pour le foutre en rage, je vais lui arracher le mod de la main. En plus les bouts de son mod sont métallique, ça va lui faire mal. Allez c'est parti, j'y vais comme un bourrin. Youuuuuuouuuuuuuuhhhhhhhhhhh j'ai son mooooooood! Ouh là mais... Il s'énerve? Putain mais il va reprendre son mod! C'est drôle ça. Pour pimenter l'action, je vais lancer le mod à un de mes acolytes cons. Comme ça et ben il va s'énerver encore plus le Deimos, pis moi ben jvais pouvoir me marrer un peu puisque je suis bien trop con pour suivre le cours d'Allemand. Mon pote con, il va tenter de spinner comme une merde pour ridiculiser le Deimos. Mais, il fait quoi le Deimos? Il se lève???? O_o Putain il a repris le mod cet enculé! Pas grave j'ai bien rigolé moi. En plus il se fait engueuler et interdire de spinner. J'ai emmerdé mon monde, je suis content. Jvais continuer à le faire chier jusqu'a la fin du cours maintenant."

~~~~~~~~~~~Réponse dudit Deimos après cette aventure~~~~~~~~~~~

C'est vrai que c'est über drôle ton truc. Je suis plié sur le plancher de rire didon. Non en fait, tu me casses les couilles au point que j'en ai du mal à retrouver les morceaux après. Quand tu commences à m'emmerder, je dis rien dans l'optique que tu comprennes que ça ne me fait rien. Manque de pot t'es con et t'attends une réaction. Bah voilà tu l'a eue ta réaction la dernière fois. Par contre la prochaine fois que tu recommences, je ne me contenterais pas de sauter sur le bureau et de le faire tomber, mais je te prends et je te casse la gueule. Et je te jure que je ferais pas dans la dentelle. Je te remettrais à ta place, rappelle toi jeune con que je suis au lycée en Première et que j'ai 16 ans, et que toi tu es jeune et au collège. De plus, je suis plus fort que toi. Je peux également trouver d'autres gens pour te péter la gueule. On peut facile s'y mettre à plusieurs et te défoncer. Et ça sera pas dans la dentelle non plus. Je te jure que tu pleureras pour qu'on arrête et que tu puisses retourner aller chercher tes dents. Que y'aie prof, pion, dirlo, rien à branler. Moi j'ai de quoi me défendre face à eux. Toi t'as rien et t'es full en tort, puisque tu cherches la merde. Rentre toi bien ça dans le crâne. Je sais tu te dis "Et tu crois que j'ai peur de toi, spèce de fiotte?". Bah non, les cons ça a peur de rien. Les cons ça comprend toujours après le coup. Et c'est pas des menaces.

C'était le plus lourd. Maintenant je gueule encore un peu sur d'autres. Tous les autres cons du lycée. Comprennez ça une bonne fois pour toutes bande de fils de putes que j'ai beau être bonne pomme et encaisser toutes vos saloperies (Et même vos coups fût un temps, je m'en souviens), sachez une chose, c'est pas ça qui va me pousser au suicide, malgré que ce soit une chose à laquelle j'aie songé très sérieusement plus d'une fois de part le passé. Je sais que pour certains d'entre vous, la seule chose que vous attendez c'est ça, que je me suicide ou pour certains que je quitte le lycée à cause de vous. Que nenni. Je suis là, debout, devant vous, et fier de l'être toujours. Soyez certains, c'est vous qui vous barrerez ou abandonnerez en premier, pas moi. C'est fini le temps lointain où la simple pensée d'aller au lycée ça me retournait le bide jusqu'a la cave et me faisait rendre ce qu'il y avait dedans, maintenant je viens et j'ose me dresser face à vous. C'est fini le temps où je vous évitais. Je passe devant vous, debout, droit, fier. Vous me balancez des saloperies, et bien allez y. Ca me fait du mal, mais si ça peut vous faire du bien de votre côté, allez-y j'ai l'habitude, j'encaisserais, et je reserais debout. C'est fini le temps où j'allais me plaindre et pleurer dans le bureau des pions. Maintenant je vous fais face et si je dois en parler, je ne mentionne pas vos noms. Je vous respecte malgré tout dans vos choix de vivre, faites pareil pour moi. C'est la moindre des choses. Mais si vous avez pas compris, la vie vous l'apprendra bien assez tôt. Ca sera à vos dépents et ça vous tombera sur le coin de la gueule comme une merde sur une planche, mais au moins vous comprendrez.

La mort lente et douloureuse pour le premier con, et souffrances et vie de merde pour les jours qu'ils vous reste à vivres pour vous autres cons. J'espère qu'une chose, c'est que si un jour on est amenés à se revoir, c'est que vous me demandrez pardon. Sinon, allez crever et vivre vieux votre vie de minable. Comme disait Renaud "Vous avez tous dans la bouche un cadavre."

Fin de l'épisode 3 de la chronique de l'intelligence humaine à travers d'exemples concrets, on se revoit pour le prochain épisode.

Aucun commentaire: